En tant que locataire, vous répondez à des droits dont celui qui vous permet d’aménager le logement selon vos besoins et vos goûts. Toutefois, tous les travaux ne vous sont pas autorisés. Afin de rester dans la légalité durant votre bail, voici les chantiers que vous pourrez entreprendre dans le logement sans risquer des pénalités telles qu’une remise en l’état du bien.
Les travaux d’aménagement et de décoration
Si vous avez opté pour une location immobilière à Draveil sous la formule nue, vous aurez le loisir d’aménager et de décorer les lieux en réponse à vos besoins et vos goûts. Les travaux légers qui n’auront aucune incidence sur l’aspect du logement peuvent s’entreprendre sans devoir demander l’aval du propriétaire-bailleur.
Il peut s’agir de l’installation d’équipements démontables et même de la pose de peinture ou de papier peint. En choisissant des couleurs et des motifs simples, vous n’aurez pas à remettre les murs en l’état à la fin du bail. Toutefois, tout trou créé devra être rebouché à la fin de la location.
Les travaux de réagencement ou de restructuration du logement
Les chantiers destinés à modifier l’agencement des pièces ou la structure du logement peuvent être entrepris par le locataire durant son bail, mais à la condition d’obtenir l’autorisation écrite du bailleur. Détenir cette preuve évitera au locataire de devoir mettre les lieux en l’état à son départ de la location immobilière à Draveil. Toutefois, elle ne lui permettra pas d’être remboursé sur les frais qu’il a alloués aux travaux.
Le type de travaux concernés par cette réglementation concerne par exemple, la démolition d’un mur ou d’une cloison, la conception d’une nouvelle baignoire ou la rénovation complète de la salle de bain.
En ce qui concerne les travaux de mise aux normes des installations et équipements qui se trouvent sur les lieux, ils peuvent être pris en charge par le locataire mais toujours avec l’aval du bailleur. Le coût des travaux peut également être assumé par ce dernier, mais pour un chantier maximal de 12 mois. Par ailleurs, dans un cas extrême, le bailleur peut refuser la réalisation des travaux.